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Les règles du Marketing BtoB

05 Nov 2014, Posté par adminviedoc dans Digital

Une évidence s’impose. On ne communique pas en BtoB comme en BtoC, et ces règles différentes d’appliquent aussi bien à un site internet qu’à ses imprimés.

Ce sont des différences d’approche Marketing importantes, et qui ont un impact majeur sur les manières de transformer un visiteur en prospect, puis en client.

La principale différence entre ces deux types de marketing est le temps entre la découverte et la commande.

– Le B2C dépend d’un branding et en général passe par de la revente de produits en achat direct, le plus souvent grâce à un site E-commerce pour maximiser la rentabilité de la « surface de vente ». La majorité de ces produits sont découverts dans les jours ou au plus quelques mois avant d’acheter et le sont aussi sur une base plus fréquente.

– D’un autre côté, B2B est souvent un processus beaucoup plus lent, moins fréquent, avec un entonnoir des ventes plus profond, et engage souvent des sommes beaucoup plus importantes. Ce processus permet en revanche d’établir des relations, et de les cultiver, il laisse aussi beaucoup plus de temps à un prospect de changer d’avis et d’aller avec voir un concurrent. Quelques conseils pour améliorer les tactiques de marketing Internet en B2B sont donc nécessaires.

1-Un site à jour et bien construit:

Tout sur ​​le site, de sa conception graphique et technique aux appels à action (bouton « en savoir plus, s’abonner, s’inscrire, essayer »…), doit être orientée vers l’information et l’aide du client. Dans cette optique, il peut être fort utile d’effectuer une analyse de la concurrence, et de l’agrandir dans des domaines non identiques, mais proches.

Si le site est mal construit et pensé pour apporter les informations que l’internaute cherche en 2.8 secondes (études), chaque internaute est susceptibles d’abandonner et de ne jamais devenir un prospect, avant même le début de la phase de prise de décision. La Navigation est importante, de même que l’expérience utilisateur. Il convient de s’assurer que le visiteur trouver les services de base de l’entreprise sans « fouiller de site ». En quelques secondes, il doit pouvoir cerner l’adéquation entre ses attentes et ce que vous proposez.

Les Coordonnées doivent être facilement accessibles également (un évidence) et pas seulement depuis la page « Contactez-nous », téléphone compris.

Un site doit être techniquement sans bug (pages 404/liens brisés, erreurs de bases de données…) et si possible être tenu à jour. Ceci pour renforcer sa crédibilité en évitant de communiquer une image d' »abandon » qui fera écho dans l’inconscient du visiteur à celui d’une société en mauvaise posture ou près du dépôt de bilan. Une charte graphique moderne et suivant les tendances de son domaine véhiculeront une image dynamique et réactive, surtout face aux concurrents. Des petits détails comme un copyright ou des actualités plus à jour depuis des années sont un indicateur souvent utilisé par les internautes pour se faire une image de la société, de manière plus ou moins consciente. Les règles du marketing BtoB en ce qui concerne les sites web s’appliquent bien sûr aussi au marketing BtoC.

2- Renforcer sa crédibilité :

Une fois que le visiteur s’est fait une image positive de votre entreprise grâce au site internet, la prochaine étape pour aller vers sa transformation en prospect passe pour l’entreprise par la construction d’une crédibilité pour ce type de prestations/services. Il n’est pas nécessaire d’en dévoiler trop, mais d’intriguer et d’inciter le visiteur à poursuivre sur le site pour un complément d’information, et éventuellement d’agir (prise en contact ou autre, et usage du « call to action »).

Les accroches et les contenus internes doivent êtres facilement accessibles de manière à ce qu’un internaute qui compare puisse retourner et trouver plus rapidement ce qu’il cherche avant de prendre sa décision. Il est donc utile aussi de le tenir informé en mettant à jour régulièrement le site avec des informations pertinentes qui maintiennent une perspective engagée. Un site internet très bien cotruit et incitatif (outre les questions de référencent) vous épargnera donc une phase de phoning ou un travail préalable de l’équipe de vente.

Mettre en œuvre une tactique de marketing de contenu utilisant blogs, les médias sociaux, offres de contenu comme des guides, fiches-conseils, livres électroniques et autres documents, formeront autant de points d’attraction ramenant les internautes sur votre site, sur le principe de la sérendipité.

Il est important pour les ventes B2B de créer un contenu à valeur éducative et à valeur ajoutée sans faire de promotion directe, et de créer du contenu pour différents décideurs. La sémantique doit être adaptée dans la perspective d’être lus par les cadres prenant les décisions budgétaires (vice-présidents, directeurs généraux, le conseil d’administration, etc.) et donc parler à leurs besoins sans insister sur la vente.

Lorsque l’information et la crédibilité sont assimilées pour l’internaute, il faut penser à la façon dont le prospect souhaite recevoir des informations supplémentaires préalable à une prise de décision. Les prospects préfèrent eux-mêmes en savoir plus sur les services/prestations et ensuite informer la société lorsque sa solution est sélectionnée ou très proche de décision.

Lorsque la transformation du visiteur en prospect s’effectue, il est nécessaire de ne pas protéger ses informations concrètes de type tarifs et modalités derrière de longs formulaires ou demander systématiquement un « Comment vous nous avez trouvé? ». Qui peuvent irriter ou agacer. Il est donc souvent nécessaire d’afficher des tarifs publics et des modalités dès le départ si c’est possible. De manière à ne laisser que la construction d’un devis résulter des derniers échanges avec le prospect.

En somme, ce n’est pas parce que le processus de décision du BtoB est plus long que le web marketing doit être négligé. Il doit au contraire soutenir une longue maturation pour aller jusqu’à son terme, sans griller les étapes ni irriter le prospect, surtout si dans l’idéal c’est ce dernier doit constamment revenir vers l’entreprise avec sa prise de décision.

Ce sont deux règles marketing BtoB à méditer…

Suite aux changements opérés dans notre gamme, nous avons décidé d’uniformiser et de décliner l’ensemble des logos des trois solutions de veille que nous proposons actuellement.

Le point de départ pour ces nouveaux logos a été le nouveau logo de RSS-Sourcing, accompagnant le lancement de RSS-Sourcing Sur Mesure il y a six mois.

Ce nouveau logo est parti de l’idée d’une « mascotte » facilement identifiable aussi bien du point de vue de la couleur que de la forme, et facilement déclinable.

Ce logo est lui même parti de la forme de l’icône bien des flux RSS présents sur la plupart des sites d’actualités : un carré arrondi, généralement orange et pourvu des caractéristiques « ondes » (blanches).

C’était d’ailleurs la logique à la base de la création des différents logos de nos outils thématiques en 2010 et que nous avions alors déclinés sous des formes et couleurs diverses en fonction des thèmes. La caractéristique de nos outils à l’époque était en effet de disposer d’un sourcing qualifié provenant majoritairement de flux RSS.

Le nouveau logo se compose donc de quatre parties :

  • Les « blocs » de grandes fonctionnalités de nos outils pour la surveillance, la collecte, la capitalisation et le partage/diffusion des informations ;
  • Le « point » (ou l’oeil) symbolise la pertinence des informations collectées.

A cette base orange, nous avons ajouté une déclinaison de couleur en fonction des possibilités offertes par l’évolution de la gamme :

  • Le pavé vert symbolise le sur mesure de RSS-Sourcing Sur Mesure ;
  • Tandis que le bleu et le rouge qui s’y ajoutent (tirés de l’ancien logo) représentent les fonctionnalités collaboratives supplémentaires de la plateforme collaborative RSS Intelligence.

Les sites gratuits sur internet ne le sont jamais…

20 Oct 2014, Posté par adminviedoc dans Digital

Les agences traditionnelles de webdesign Françaises qui ont résisté depuis l’éclatement de la première bulle internet, après la crise des subprimes (2008), ont pu se faire un nom à l’international. Quand aux agence de communication qui proposaient traditionnellement du web et du print, elles ont dû revoir leur copie face à la montée de deux nouveaux acteurs difficiles à battre niveau tarif et notoriété. Outre un service hérité des PTT bien connu qui a vu cette nouvelle activité comme un développement de ses services de mise en avant des annonceurs sur son annuaire, les chambres de commerce et de l’industrie proposent de plus en plus ces prestations en package supplémentaire a des services de veille, entre autres… Il y a aussi les associations de commerçants qui peuvent proposer la chose en supplément d’une simple fiche sur leur portail, et les réseaux sociaux, qui offrent de plus en plus de possibilités aux commerces. Et il y a …les sites « gratuits ».
Et certains, malgré leur gratuité sont présents dans les médias de façon parfois surprenante, et on ne parlera pas non plus du démarchage associé parfois pour simplement provoquer des inscriptions.

La formule est déjà bien établie depuis quelques années. Ces modèles fonctionnent techniquement un peu sur le modèle des portails de blogs, combinant également la possibilité d’acheter ou de « débloquer » des fonctionnalités en un simple clic. Citons quelques exemples: Wix, sans doute le plus connu (Américain), E-monsite (Français), Weebly (Américain), Yola (Afrique du sud), Webstarts… Il y a aussi les logiciels à installer sur sa machine permettant de créer un site en quelques clics. Des hébergeurs comme 1and1, OVH, proposent aussi des sites « maison » préfabriqués utilisant des CMS connus comme architecture.

Le point commun de ces formules ?

Le plus souvent une interface en java permettant le drag & drop, pas une ligne de code à taper, un large choix de templates et d’options cachées pour ne pas alourdir l’interface, donc une ergonomie permettant à quelqu’un ayant une expérience en la matière inexistante d’avoir effectivement un site relativement personnalisé en quelques clics. Hors, ce n’est que la partie de la réalité. L’autre réalité est que les options abondent, mais sont payantes. Et ces options vont du basique (ne pas avoir de publicités imposées sur son site, un nom de domaine propre) au plus complexe (résa en ligne, paiement en ligne, référencement par soumission…). Au final on se rend compte que les tarifs affichés sont à peu près similaires à ceux des agences pour le même service. Le gain réel se trouve dans la conception du site internet, puis tout est automatisé c’est en quelque sorte le client le webmaster/webdesigner. Ce qui n’est pas négligeable. Restent en effet des frais d’hébergement et de manipulations des dns pour avoir des redirections etc. Et des partenariats avec des services comme google adwords et hébergeurs en masse.

Il y a un toutefois nombre consistant d’inconvénient à utiliser ce type de service.
– D’abord, le « client » gratuit n’est jamais propriétaire de son site internet. La résiliation du contrat fait que l’on perd le site (et il est ardu de récupérer son nom de domaine par la même occasion).
– Un site démarré de cette manière peut s’avérer très cher sur le long terme. 10, 12, 15, voire 25 € et parfois bien plus par mois (addition des options), cela finit par représenter une somme conséquente à longue échéance.
– Il y a aussi bétonnement » avec un engagement calqué sur celui des FAI, souvent 12 mois minimum et souvent bien plus…
– La personnalisation est souvent l’enfant pauvre de ces solutions, étant donné le choix limité de templates et d’options volontairement basiques pour l’offre gratuite. La plupart du temps ces solutions proposent donc des « designers » dont le tarif fait bien sûr s’envoler la note… On ne parlera pas non plus des fabrications de sites en série avec textes préformatés à variables faits au Maroc, à Madagascar, ou dans un autre pays à bas revenu.
– Un mauvais référencement est sans doute la pire des choses pour démarrer une activité sur le web, surtout s’il y a forte concurrence. Or en général, sur les portails de sites gratuits elle n’est pas mauvaise, elle est inexistante. Il n’y a aucune optimisation, le tout ajouté à une nom de domaine à rallonge et non en propre. Ce qui est volontairement caché et voulu par ces plates-formes qui comptent débloquer la chose sous forme d’options payants graduelles, sans aucune garanties de résultat par ailleurs. Le retour sur investissement est le plus souvent nul.

Au final, s’inscrire sur un portail de sites gratuits ne rapportera que le fait de disposer d’une adresse sur internet à mettre sur ses cartes de visites. Le « site » ne rapportera jamais rien, à moins d’y consacrer des fonds qui auraient été bien mieux employés auprès de vrais professionnels du web.

Il y a pire. Certaines fausses agences web proposent la réalisation de site internet et sous-traitent sur ce genre de plate-formes, tout en prenant une commission substantielle, de 100 à 500 euros et plus pour effectuer de la saisie. Il est facile dans la pratique de démasquer, il suffit bien souvent d’aller voir les références données, puis d’afficher le code source pour retrouver des traces de l’architecture ou du site utilisé, sans parler des adresses URL.

En tant qu’agence web, nous rappelons donc une de ces vérités qui devrait pourtant être un réflexe: Le gratuit sur internet n’existe pas !
Tout à un prix, et les sites internet en font partie. Dans l’absolu chacune de ces solutions vues plus haut a nécessité un temps considérable de développement -qu’il à fallu amortir- sans compter l’hébergement, et la publicité. Lorsqu’on fait la somme de tout ceci et qu’on y ajoute les charges étatiques, on a vite une idée de la marge financière à faire en proposant du « gratuit »…
Même les téléchargeurs sauvages le payent en virus, espiogiciels et autres barres de recherche truquées, sans parler de la revente de son adresse mail aux spammeurs !

Un site internet, même un CMS à personnaliser pour un client cela prend du temps. Un simple site vitrine un tant soit peu personnalisé peut demander au minium seize heures de travail, bien souvent 30 à 60 heures, et bien plus pour des projets sur mesure complexes. Et cela sans compter l’hébergement, les frais de renouvellement du ou des noms de domaine, le suivi technique et l’assistance, les mises à jour, sans parler du référencement de long terme, qui accompagnera l’optimisation de départ. Même exploiter une page facebook ou google+ (qui est gratuit) demandera de l’investissement en temps passé à « alimenter » sa page, qui restera captive d’ailleurs du réseau social en question. Au final ces solutions « gratuites » sont souvent l’origine d’une méfiance d’internet en général, et de prévenir un nombre croissants de professionnels d’être présents à nouveau sur internet…

Si c’est gratuit c’est vous le produit !

Nouvelle gamme de sites internet à découvrir

23 Sep 2014, Posté par adminviedoc dans Digital

L’année 2014 pour Viedoc promet d’être riche en changements…

L’antenne communication de Viedoc vient de revoir sa gamme de prestations internet. Cette gamme a été simplifiée en trois offres bien identifiées comme en témoignent leurs chartes graphiques respectives. Et comme une image vaut mieux qu’un grand discours…

Une offre de sites internet répondant à tous les cas de figure

Seulement trois types sites internet? On vous sent dubatitif(ve).

Il s’agit de sites clef-en-mains parfaitement optimisés pour le SEO. Nous avons déversés tout notre savoir faire dans leur conception. Leur optimisation est particulièrement soignée car rien n’est laissé au hasard. Ces offres recoupent l’ensemble des cas clients rencontrés et peuvent être modifiés ou évoluer à façon. On peut très bien passer d’un simple page de présence (couplée à une compte facebook et autres c’est mieux) à un CMS, et du CMS au site E-commerce depuis le même nom de domaine.

l’ Offre ZEN

Il s’agit d’un site statique (pas de back-office) entièrement réalisé sur mesure d’après maquette (3 propositions). Une page de ce type comporte l’essentiel de ce que l’on peut trouver sur des sites internet multi-pages (Homepage qui attire l’attention et explique en deux mots l’activité, les points forts, des coordonnées de contact et/ou un formulaire à la demande). Nous nous occupons de vos mises à jour sous 48h maximum et sur le long terme des aspects techniques. Nous veillons notamment au bon rendu du site sur les navigateurs, et sur différentes plate-formes (PC, mobile, tablette). Un tel site peut recevoir des pages supplémentaires, ou recevoir un back-office sans changer quoique ce soit à la maquette (en option). Ce back-office de notre conception est particulièrement simple d’usage et comporte un éditeur de contenu qui se rapproche de word.

l’ Offre Liberté

Prenez le contrôle de votre contenu avec le meilleur CMS (« Content management System » ou sites internet avec back-office) du moment pour le SEO (référencement): WordPress. Profitez de toute la puissance de son architecture pour faire évoluer votre site internet et lui ajouter autant de fonctionnalités que vous souhaitez grâce aux très nombreux plugins gratuits, ainsi qu’une communauté dynamique et inventive, ainsi que nos conseils pour améliorer vos performances en marketing et référencement, et augmentez votre chiffre d’affaire !

L’Offre E-Shop

Vous avez un commerce mais vous souhaitez faire plus de ventes ? Pas besoin d’ouvrir un deuxième local et d’embaucher du personnel. Pensez aux bénéfices du commerce en ligne. Pas besoin de connaissances particulières, une fois votre site internet de vente en ligne prêt et opérationnel, vous recevez simplement les alertes d’inscriptions et les nouvelles commandes sur votre mobile ! Tout se fait automatiquement (sauf la livraison!)… Profitez de toute la puissance de Prestashop et de ses nombreux plugins.
-Exigeant(e) ? Vous pouvez aussi opter pour Magento, encore plus puissant.
-Vous avez un site wordpress et vous souhaitez vous lancer dans l’e-commerce ?
Pas besoin de changer de site, optez simplement pour le plugin Woocommerce…

Augmentez les performances de vos sites internet

Avoir un site c’est bien, qu’il vous apporte des clients, c’est mieux. C’est pour cela que nous vous offrons la possibilité d’améliorer votre retour sur investissement (ROI) de plusieurs manières:
Surveillez votre fréquentation, par une analyse régulière et détaillée du trafic sur votre site internet.
Améliorez vos accroches et l’efficacité des pages en fonction du retour que vous avez des internautes
Développez une vraie stratégie de contenu « on site » en optimisant vos articles et leur diffusion
Utilisez les réseaux sociaux, pour vous faire connaître, fidéliser, et développer une nouvelle relation avec vos prospects et clients
Maximisez l’efficacité des vos contenus en diversifiant vos supports (videos, documents…)
… et bien d’autres choses. Faites-nous part de vos besoins.

Les atouts référencement pour 2015

04 Sep 2014, Posté par adminviedoc dans Digital

Avec la nouvelle donne provoquée par l’introduction du nouvel algorithme Hummingbird, on a assisté à un « coup de torchon » magistral sur les pratiques « black hat », à commencer par une dépréciation massive et sans appel des liens « de faible qualité ». Cela donne paradoxalement une nouvelle motivation aux pirates du web, prêts à effectuer du NSEO envers le site d’un concurrent en utilisant pour cela un des nombreux sites « 1000 liens automatiques » qui survivent encore quelque part sur la toile. La notion d’authorship a été grandement appréciée, ce qui force les bloggeurs à rechercher des liens venant de sites d’autorité eux-mêmes, ou en faisant du « push » pour en obtenir de manière apparemment « naturelle ». La complexité derrière cette appréciation reste l’un des secrets de l’algorithme et a été certainement été une question plus complexe à traiter que d’autres aspects techniques. Enfin, troisième volet, la prééminence renforcée du contenu. Cela s’est accompagné par un net gain du « not provided » interdisant aux référenceurs de jauger de l’efficacité de leurs mots-clés sur Google analytics. Sans aller jusqu’à dire que le « SEO est mort », vieille rengaine peu crédible, on se concentrera donc sur l’essentiel une fois encore.

Sans surprise en effet, Google poursuit sa traque des fraudeurs du web, des techniques « limites » dont la frontière, grise, devient de plus en plus floue et recule de manière drastique selon tous les indicateurs provenant de la communauté SEO. Les bases du SEO ne changent en effet pas vraiment. Il s’agit de s’adapter rapidement aux nouvelles règles tout en conservant les anciennes « sans risque ». En ayant conscience que les enjeux n’ont fait que se renforcer, que la visibilité et le taux de conversion sont toujours plus difficiles à obtenir car pour le monde du commerce, la présence sur le web n’est plus une exception mais la règle, et surveiller la concurrence est plus que jamais au centre de ces efforts.

Linking : Le grand ménage. En effet, sans surprise, les sites ayant usé et abusé des « liens faciles » ont perdu des places. De nombreuses places, compensée par ailleurs par leur présence sur les réseaux sociaux, authorship, et le poids de leurs liens de qualité quand ils en avaient. 2014 Aura donc été l’occasion de faire un « ménage du printemps » et de revoir éventuellement la possible sur-optimisation des « bons liens ».

Du Contenu, du contenu, du contenu… Rien de bien nouveau sous le soleil. La tendance s’est confirmée. On doit désormais considérer comme l’optimisation pour les robots secondaires, et en revenir à des principes marketing terre à terre. Le ciblage doit être juste et le contenu calibré pour arriver au meilleur taux de conversion possible. Le relai sur les réseaux sociaux, là encore bien choisis selon la cible, avec une stratégie adaptée pour chacun, est là encore primordiale. Enfin, un contenu qui ne sera pas figé, nécessairement, ce qui implique de disposer d’un blog sur lequel créer un contenu « utile » qui sera susceptible d’être repris et partagé. Ce dernier point aura l’avantage supplémentaire de renforcer l’authorship du site ou de l’auteur des contenus. Selon l’étude de Vocus, les dix premier résultats sont des pages à plus de 2000 mots. Ce n’est pas une règle absolue, mais il semble que les contenus plus importants sont favorisés, passant de 500 à 1000 mots par exemple. En outre les pages d’accueil interminables à scroller (donc riches sémantiquement, à dessein) sont une tendance confirmée en webdesign.

Les réseaux sociaux indispensables. Selon tous nos indicateurs, la tendance s’est confirmée, non seulement pour les grands comme facebook ou twitter, mais aussi pour google+ qui se taille désormais une part du lion grâce aux croisements avec d’autres services comme google adwords et de la place privilégiée que Google fait à ses contenus sociaux relayés/partagés sur la toile.

Google+ en effet selon MOZ, a estimé que les posts partagés et reliés à un compte personnel renforçaient l’authorship et améliore le classement des contenus dans les résultats de recherche. Il semble aussi y avoir une corrélation assez nette entre les « +1 » affichés dans les mêmes SERPs provenant de ses cercles de connaissance proches, là encore apportant une crédibilité à l’authorship.

Il faut également penser toujours et plus encore en termes de diversité, en étant présent (là encore en communicant en fonction de sa cible), sur Instagram, Pinterest, ou les sites de vidéos Vimeo ou Vine. L’efficacité de cette présence doit être de plus en plus sérieusement prise en compte et l’est, indiscutablement pour Google.

Une présence sur mobile qui devient incontournable
Votre site n’est pas encore responsive ? Grossière erreur ! En effet tous nos indicateurs montrent que la part du trafic web concernant les mobiles a progressé de manière drastique entre 2013 et 2014. Les mobiles doivent êtres pris en considération comme un « web nomade » dont l’usage -au travail comme en loisirs- est devenu un réflexe. Qu’est ce qu’un design responsive ? Tout simplement la possibilité pour un site web de changer d’apparence en fonction de la taille de l’écran des utilisateurs et donc d’optimiser la lecture (donc réduire le taux de rebond et accroître le bénéfice de l’expérience utilisateur »). A ce titre la part des tablettes (pour qui un design web standard non-responsive ne pose pas trop de problèmes) recule au profit des mobiles, profitant de ventes dopées sur les samsung S3/4/mini et autres I-phones. Edit: Concernant les atouts référencement pour 2015, Google enfonce le clou sur la responsivité avec un nouvel algorithme dédié lancé le 21 avril 2015.

Comment ça marche concrètement ?

Typiquement une page d’accueil de blog « responsive » par exemple verra les onglets de son menu êtres disponibles en un menu déroulant tandis que vos actualités en 3-4 colonnes passeront en une seule colonne.

Il serait donc judicieux de:

  1. Vérifier comment d’affiche votre site web sur un mobile
  2. Envisager le cas échéant de le refaire complètement. Si c’est un CMS, prenez un nouveau template responsive.
  3. Eventuellement faire une version séparée, adaptée pour mobiles avec redirection automatique.
  4. Prenez aussi en compte la recherche vocale sur mobile.

ADWORDS évolue et est rendu plus indispensable.

Pour qui doute encore du « bien-fondé » d’investir dans le service publicitaire de google, quelques indications. Premièrement, outre le bénéfice d’une présence « premium » dans les SERPs, les bandeaux contextuels. Ensuite, les fameux « not provided » disparaissent comme par enchantement…

Parmi les nouveautés 2014, on citera :

Des annonces mieux ciblées. Le 22 juillet 2013, les campagnes universelles de Google Adwords ont vu un changement d’interface de l’apparition de nouveaux outils les internautes en fonction de leur localisation et horaires de leur requête. « Bid by distance » permet par exemple de jouer sur une enchère sur un mot-clé en relation avec la distance qui le sépare physiquement d’un point de vente. Les magasins peuvent dont être plus visibles dans leur propre zone de chalandise et diminuer leurs enchères après leurs heures de fermeture.

Un accroissement de l’intérêt des « informations utiles » pour les internautes au détriment du contenu avec les liens annexes du site sous le texte de l’annonce renvoyant sur les tarifs, coordonnées, contact, en général pages peu optimisées… Mais aussi  l’apparition du « click-to-call » sur mobile, l’itinéraire google maps géolocalisé, l’ajout d’images dans l’annonce google ads ou encore la collecte des adresses E-mail opt-in.

Des liens sponsorisés « responsive » changeant selon le média impliqué (mobile, PC ou tablette) avec une dépréciation en fonction de ce dernier. Notons que Google à tout fait pour pousser les propriétaires de sites à proposer une seule et unique version responsive de leur site web, ce qui rend un clair distinguo des résultats entre les deux versions éventuelles plus difficile. Selon Vincent de Mellon cela devrait avoir un impact sur le coût total de la campagne, avec une uniformisation des prix vers le haut car le CPC n’est plus relié à un média particulier.

Drupal contre Joomla contre WordPress

05 Juin 2014, Posté par D. Bocquelet dans Digital

C’est le match du siècle en matière de CMS !

Les plus utilisés au monde, cette troika de poids est responsable à elle seule de la publication d’une portion conséquente du contenu internet mondial. Ils ont pourtant chacun leurs avantages et leurs points faibles, que nous allons les voir ici :

Drupal

Drupal fait figure d’ancêtre parmi le trio – il est sorti au début de 2001. Comme WordPress et Joomla, il est open-source et basé sur PHP-MySQL. Drupal est extrêmement puissant et développeur-friendly, ce qui a fait un choix populaire pour ajouter des fonctionnalités, implémenter et gérer du Rich data, des contenus riches et intensifs en toute sécurité et stabilité comme sur certains sites gouvernementaux.

Avantages de Drupal :

  1. Extrêmement flexible: Vous voulez un blog simple avec une page de couverture statique? Drupal peut le faire. Vous voulez un backend puissant qui peut supporter des centaines de milliers de pages et des millions d’utilisateurs chaque mois? Bien sûr, Drupal peut le faire également fort bien. Le logiciel est puissant et flexible – pas étonnant qu’il soit le favori parmi les développeurs.
  2. Developer-friendly: L’installation de base de Drupal est assez dépouillée. Les développeurs sont encouragés à créer leurs propres solutions. Bien que cela ne le rend pas très sympathique pour les utilisateurs non professionnels, il promet une grande gamme de possibilités pour les développeurs.
  3. Bon en SEO: Drupal a été conçu dès le départ pour être Google-friendly.
  4. Enterprise-friendly: Fort contrôle de la version et capacités ACL puissantes qui font Drupal le CMS de choix pour des sites d’entreprises. Le logiciel peut gérer des centaines de milliers de pages de contenu avec facilité.
  5. Stabilité: Drupal peut être étendu rapidement sans effort et est stable même au moment de servir des milliers d’utilisateurs simultanément.

Inconvénients de Drupal:

  1. Courbe d’apprentissage ardue. Passer de WordPress à Drupal peut donner l’impression de passer de sa voiture au cockpit d’un Boeing 747 – tout est assez compliqué. Sauf si on possède des capacités de codage solides et que l’on aime lire une documentation technique généreuse, on peut trouver Drupal extrêmement difficile à utiliser en usage régulier.
  2. Manque de Thèmes: Une installation Drupal sans base de données de démo préalable ressemble au désert de Gobi. Le manque de thèmes n’améliore rien. Vous aurez à trouver un bon designer, si vous voulez que votre site soit plus intérressant à regarder qu’une triste relique datant de 2002 lors de sa première version.

Bilan: L’utilisation Drupal est recommandée pour les entreprises ayant des besoins spécifiques et un spécialiste développeur sous la main. Il est recommandé pour les grands projets où la stabilité, l’évolutivité et la puissance priment sur la facilité d’utilisation et l’esthétique.

Joomla:

Joomla est un logiciel de gestion de contenu open-source, et Forks de Mambo. Il est l’une des solutions CMS les plus populaires dans le monde et compte le plus de téléchargements à ce jour.

Joomla propulse des célébrités du web comme Cloud.com, Linux.com, etc.

Avantages de Joomla

  1. Convivial: Joomla n’est pas WordPress, mais il est encore relativement facile à utiliser. Ceux qui débutent à l’édition web trouveront son interface polie, souple et puissante, mais il reste encore une légère courbe d’apprentissage pour bien la maîtriser.
  2. Forte communauté de développeurs: Comme WordPress, Joomla possède aussi une communauté dynamique et active.
  3. Riche en Plugins: La bibliothèque de plug-in (appelée «extensions» dans Joomla) est imposante, avec de très nombreux libres et en open source.
  4. Variabilité d’extension: Les extensions Joomla sont divisées en cinq catégories – composants, plugins, templates, modules et langues. Chacun diffère pour ses fonctions, sa puissance et sa capacité. Les composants, par exemple, fonctionnent comme des «mini-applications» qui peuvent changer l’installation de Joomla. Les Modules, d’autre part, peuvent ajouter des capacités mineures comme contenu dynamique, des flux RSS, et la fonction de recherche sur une page web.
  5. Puissantes capacités de gestion de contenu: Contrairement à WordPress, Joomla a été initialement conçu comme un CMS d’entreprise. Cela le rend beaucoup plus apte à gérer un volume important d’articles que WordPress.

Inconvénients de Joomla

  1. Une courbe d’apprentissage est bien présente: Vous ne pouvez pas passer d’une installation de Joomla à votre premier contenu sans être déjà familier avec le logiciel. La courbe d’apprentissage n’est pas trop raide, mais elle peut l’être assez pour intimider les utilisateurs occasionnels.
  2. Un manque de capacités SEO: De base, mais cela peut être compensé en partie par l’installation des bons plugins. On aura quand même besoin de beaucoup de travail pour obtenir les meilleures performances SEO. Sauf si vous avez le budget pour embaucher un expert SEO, vous voudrez peut-être envisager des solutions alternatives.
  3. Gestion des droits limitée: En anglais ACL (Access Control List),  autorisations qui peuvent être accordées à des utilisateurs spécifiques pour des pages spécifiques. C’est une composante essentielle de toute solution CMS de classe entreprise, multi-users et utilisable comme un portail avec des abonnés et clients. Joomla ne s’y est mis qu’avec la version 1.6. Le système est déjà plus mature avec la version 3.

Bilan: L’utilisation de Joomla est recommandée pour construire un site avec plus de stabilité structurelle et un contenu plus riche que WordPress, mais disposant encore d’une interface assez intuitive. Si vous voulez un site web standard avec des fonctionnalités standards – un blog, un site avec front-office dynamique ou statique, un forum, etc. utilisez Joomla. Joomla est également une bonne option pour les magasins de commerce électronique. Pour une utilisation en entreprise plus exigeante, pensez à Drupal.

WordPress:

Le New York Times, CNN, Forbes et Reuters – la liste des utilisateurs de WordPress.com se lit comme la dream-team des journeaux en ligne. Plus de 68 millions de sites Web utilisent WordPress, ce qui en fait un logiciel de blogging le plus populaire au monde. Il est suffisamment souple pour pouvoir propulser de puissants blogs d’entreprise avec 500 news/jour comme de petits journaux personnels sporadiquement mis à jour.

Avantages de WordPress

  1. Multiples Auteurs: WordPress a été construit de base pour accueillir plusieurs auteurs – un élément crucial pour toute portail de publication à dimension communautaire.
  2. Grande librairie de Plugins: WordPress se repose sur une des communauté de développeurs open-source les plus active au monde, qui a développé des centaines de milliers de plugins pour à peu près tout ce qui est concevable. Il n’ya pas grand chose que WordPress ne puisse pas faire.
  3. Convivial: Une interface indéniablement facile à utiliser et très intuitive, même pour des blogueurs débutants. Vous pouvez activer un thème, ajouter quelques plugins, et publier en quelques minutes.
  4. Excellentes Capacités SEO: De base, mais aussi avec des plugins comme All in One SEO, on peut commencer à bloguer sans se soucier de référencement sur la page et assez facilement soigner le côté technique (ex. sitemap, url rewriting…).
  5. Personnalisation facile: Le système de gestion des thèmes et plugins est bien conçu pour faciliter la personnalisation et l’évolution du site. N’importe qui avec un peu de connaissance HTML et CSS peut en outre personnaliser un thème WordPress pour s’adapter à ses besoins. De plus, la plupart des thèmes se gèrent sans toucher au code depuis le back office.
  6. Flexibilité: WordPress peut être utilisé pour faire pratiquement n’importe quoi – lancer une boutique e-commerce, héberger des vidéos, servir comme galerie ou CV en ligne, ou comme blog d’entreprise – grâce à des plugins et des thèmes personnalisés.

Inconvénients de WordPress

  1. Sécurité: Comme le logiciel leader de la catégorie avec des millions d’installations, WordPress est souvent la cible de pirates informatiques. L’architecture elle-même une fois installée reste « légère » sur ce point et vous devrez installer des plugins tiers pour renforcer la sécurité de votre installation (et contrer le spam !).
  2. Incompatibilité avec les anciens plugins: L’équipe WordPress publie continuellement de nouvelles mises à jour pour corriger les failles de sécurité et les problèmes de patches. Ces mises à jour sont souvent incompatibles avec les plugins âgées. Si votre site se fonde sur des plugins plus anciens, vous devrez peut-être attendre avant de mettre à jour (ce qui rend votre site d’autant plus sensibles aux attaques de pirates).
  3. Options limitées de personnalisation: Même si WordPress est personnalisable à l’infini, la plupart des installations de WordPress se ressemblent. Bien que ces dernières mises à jour et des améliorations dans plugins/thèmes ont redressé quelque peu ce problème, WordPress reste encore entravé par des options de conception assez limitées.
  4. Capacités limitées en gestion de contenu: WordPress a été initialement conçu comme une plate-forme de blogs. Cela a affecté sa capacité à gérer de grandes quantités de contenu. Si vous envisagez de publier des centaines de posts par semaine (pas rare pour de grands éditeurs), vous pouvez trouver le backend par défaut un peu décevant pour faire face à un tel volume.

WordPress est souvent appelé un «mini CMS. Il n’est pas aussi puissant ou performant comme Drupal ou Joomla, mais il est assez facile à utiliser pour n’importe quel utilisateur profane. Utiliser WordPress si vous souhaitez une solution simple, facile à utiliser pour du blogging avec des co-auteurs et des sites peu exigeants avec des mises à jour périodiques.

Conclusion:

Même si WordPress, Joomla et Drupal sont construits sur la même base de technologies open source, ils varient fortement en fonctionnalités, capacités et facilité de prise en main et de personnalisation. Ce post constitue un début de réponse, mais il est utile de recevoir un avis éclairé de professionnels du web et de webmasters qui auront expérimentés ces différentes solutions pour se faire un avis sur celle qui serait la mieux à même d’être utilisée pour son projet spécifique…

Suivez 20 réseaux sociaux avec leur flux rss

06 Mai 2014, Posté par D. Bocquelet dans Digital, Outils

La plupart des sites et application sur le web proposent ou disposent d’un flux et lorsque ce n’est pas le cas, peuvent en produire un, avec l’aide d’un sumple URL et de plus en plus, d’un « hack » 100% geek ou d’un combo d’API. On ne démontrera plus l’utilité d’avoir un flux pour suivre l’actualité sur les réseaux de manière centralisée, mais ces dernier ont visiblement l’intention d’y mettre fin. C’est en tout cas le constat en cette année 2014.
Voici donc, un par un, les réseaux/applis sur lesquels c’est possible et la manière procéder.

YOUTUBE :

Pour suivre l’actualité d’un compte youtube (ses publications) : https://gdata.youtube.com/feeds/api/users//uploads
Exemple : https://gdata.youtube.com/feeds/api/users/viedoc/uploads
Pour suivre les vidéos portant sur un mot-clé (tag) :

https://gdata.youtube.com/feeds/api/videos/-/ Exemple
Pour suivre un fil d’actualité issue d’une requête (recherche)

: https://gdata.youtube.com/feeds/api/videos?q=&orderby=relevance
Exemple
A savoir que Youtube propose nativement des flux rss pour les vidéos les plus populaires, les plus likées, ou les plus partagées. On peut ainsi pour le dernier exemple, remplacer orderdby=relevance par orderby=published ou orderby=viewcount.

FACEBOOK :

Outre le suivi des notifications sur ce lien https://www.facebook.com/notifications, et pour suivre l’actualité d’une page facebook, on utilise l’url suivante:
https://www.facebook.com/feeds/page.php?format=atom10&id=
Il faut bien sûr remplacer par la page à surveiller, comme par exemple https://www.facebook.com/pages/viedoc-solutions/114456311926760?fref=ts, qui donne https://www.facebook.com/feeds/page.php?format=atom10&id=114456311926760

TWITTER :

Aaaah Twitter. Depuis que ce dernier a cessé de supporter son API 1.0 et patine avec l’api 1.1, il n’y a plus de manière simple d’obtenir un flux, sinon de programmer une usine à gaz. En revanche il reste la possibilité, moyennement complexe, de l’obtenir via des widgets (un par source que l’on souhaite suivre sur twitter) et une macro Google qu’il suffira de coller dans sa barre de navigateur. Elle ressemble à cela : https://script.google.com/macros/s/idscriptgoogle/exec?012idwidget456.
Pour y parvenir il faut : 1- aller dans parametres/widget puis créér un nouveau widget (recherche, publications chrono, etc.) et récupérer son identifiant. 2- Utiliser un script Google (ex. celui d’Amit Agarwal) puis choisir d’éxécuter Twitter_RSS. 3- puis « publier/déployer comme une application web » pour autoriser et déployer le script. 4- Au final il ne restera qu’à ajouter l’identifiant précédemment récupéré sur le widget twitter. Merci twitter.

PINTEREST :

Ce réseau principalement visuel ne propose pas de rss pour ses recherches mais peut être surveillé en utilisant ces URL :
http://pinterest.com//feed.rss (Pour surveiller les nouvelles épingles d’un utilisateur)
http://pinterest.com///rss (Pour surveiller les nouvelles entrées d’un tableau d’épingles) – Exemple

INSTAGRAM :

http://instagr.am/tags//feed/recent.rss (Flux RSS basé sur les tags) – Exemple

PICASA :

http://photos.googleapis.com/data/feed/base/all?alt=rss&kind=photo&q= (Flux RSS basé sur une requête de recherche) – Exemple

FLICKR :

http://api.flickr.com/services/feeds/photos_public.gne?id= (Flux RSS basé sur un identifiant de compte)
http://api.flickr.com/services/feeds/photos_public.gne?tags=, (Surveillance basée sur des tags) – Exemple

TUMBLR :

http://.tumblr.com/rss (Flux RSS basé sur un un blog). Exemple

BLOGGER :

http://.blogspot.com/rss.xml (Flux RSS basé sur un un blog). Exemple.

WORDPRESS :

http://.wordpress.com/feed/ (Flux RSS basé sur un un blog). Exemple

DROPBOX :

https://www.dropbox.com/123/456/789/events.xml (Pour détecter les changements effectués sur son fichier partagé).

INSTAPAPER :

http://www.instapaper.com/rss/123/456 (Pour détecter les changements intervenus sur ses bookmarks)

FOURSQUARE :

https://feeds.foursquare.com/history/ABCD.rss (Pour suivre les changements intervenus sur ses lieux sauvegardés)

LINKEDIN :

Autrefois on pouvait surveiller l’activité d’un groupe ou son réseau avec ceci : http://www.linkedin.com/rss/nus?key=abcdef
Mais depuis le 19 décembre 2013, Linkedin à décidé d’arrêter le service et semble ne pas proposer d’API ou de système intermédiaire. VIADEO et a pris le même chemin et arrêtent également leur support pour le RSS.

GMAIL :

http://:@gmail.google.com/gmail/feed/atom/ (Pour surveiller ses nouveaux messages -pb il faut paramétrer l’URL avec son mot de passe en clair)

GOOGLE SEARCH :

https://www.googleapis.com/customsearch/v1?alt=atom&key=API_Key&q= (Pour surveiller des résultats de recherche basés sur une requête)

GOOGLE FINANCE :

http://www.google.com/finance/company_news?q=&output=rss (Pour surveiller les côtes et marchés boursiers)
Exemple with NASDAQ : http://www.google.com/finance/company_news?q=NASDAQ:GOOG&output=rss

WIKIPEDIA :

http://en.wikipedia.org/w/index.php?action=history&feed=atom&title= (Pour surveiller les modifications apportées à une page). Exemple.

STUMBLEUPON :

http://rss.stumbleupon.com/user//favorites (Pour surveiller un compte stumbleupon). Exemple

EVERNOTE :

https://www.evernote.com/pub///feed (Pour surveiller un compte partagé evernote).

La nouvelle maquette de veille salon

28 Avr 2014, Posté par D. Bocquelet dans Digital, Veille Salon

Viedoc Solution travaille entre autres sur la refonte de Veille Salon (www.veillesalon.com).
C’est pour mémoire le premier service de veille événementielle, lancé en 2009.
Il propose :

  • Près de 25 000 salons, conférences, congrès, symposiums et autres événements professionnels
  • Des fiches complètes pour chaque événement (organisateur, lieu exact, périodicité, etc)
  • Une recherche multicritères (par secteur, organisateur, nom, date, lieu, exposants, etc.)
  • Un agenda et des alertes paramétrables, une newsletter de l’événementiel
  • Des rapports de veille en Français et en Anglais (la plupart gratuits)
  • Un formulaire d’inscription de salons
  • Un module gratuit affichant un flux rss de salons par secteur (déjà présenté)
  • Un service de veille événementiel (veille à la demande, formations, accompagnement)
  • Un service de veille adhoc avec frais mutualisés
  • Un service de salon virtuel permanent pour les exposants
  • Des services de référencement et de gestion événementielle pour les organisateurs
  • Un service de réservation à la volée pour les visiteurs (en partenariat avec salons.de)…

Le site datant de 2009, il avait sans doute besoin d’un lifting en profondeur, permettant notamment d’utiliser les dernières technologies du web. Le cahier des charges était en substance de redonner un « coup de jeune » au style, tout en conservant et en donnant plus d’espace et de fonctionnalités ergonomiques aux services (en utilisant notamment des scripts ajax/jquery).

Cette nouvelle version affichera notamment dans le header (partie haute ou bannière) un moteur multicritères en ajax et saisie-semi automatique en page d’accueil, est très modulaire, dynamique, et met plus en avant certains services.

Veille salon nouvelle maquette

Explicatif :

  1. Adresse du répertoire de maquettage (provisoire, deviendra veillesalon.com lors de la mise en ligne)
  2. Logo (image) permettant le retour à la page d’accueil (ergonomie standard)
  3. Slogan
  4. Menu déroulant
  5. Moteur de recherche dynamique en ajax
  6. Critères de recherches additionnels (ouvre un popup)
  7. rerouteur d’ips automatique avec url rewriting selon le pays du visiteur détecté
  8. système de session préchargée avec cookies
  9. Traduction automatique en 52 langues (translate.this), ici le portugais en exemple.
  10. espace de connexion rapide visiteurs/exposants/organisateurs
  11. Dernier rapport de veille
  12. Autres rapports de veille récents
  13. 10 derniers salons à venir
  14. Les pages de salons par secteurs (9 traités)
  15. Accès et présentation services
  16. Bloc advertiser à louer
  17. Dernières actualités du site
  18. Module rss des salons par secteur
  19. Partage réseaux sociaux
  20. Login (2) réservé aux collaborateurs du site

On y accède pour l’instant sur cette adresse : http://www.veillesalon.com/NEW/

La date de livraison prévue n’a pas été encore précisée.

Un talent caché de VIEDOC

10 Avr 2014, Posté par adminviedoc dans Digital, Société

Un des aspects rarement évoqué de Viedoc Solutions (le service communication & web de Viedoc) est la possibilité de réaliser des infographies et des illustrations, régulièrement publiées dans la presse généraliste et spécialisée, internationale. Ici par exemple, une présentation inédite de la marine Française en 1914-18, qui correspond au centenaire de la « grande guerre », dans le numéro 18 bimestriel (avril 2014) de Guerre & Histoire, du groupe Mondadori (« ça m’intéresse »). D’autres éditeurs comme Geo (Allemagne), National Geographic (USA et l’édition espagnole), Historia ou Cabotage (France), ou encore Asian Geographic, font partie des clients de Viedoc pour ce type très spécifique de prestation… Principalement connu pour ses profils, David Bocquelet, formé à Brassard, Tours, s’est exercé un peu dans tous les styles d’illustration traditionnelle (dessin, peinture gouache, acrylique encre de chine, aquarelle…) et numérique (vectoriel, pixel, 3d). Une spécialité parmi d’autres : Les reconstitutions navales archéologiques.

Illustration Editions Gpe MondadoriGeo Epoche 2013 HS Piraten

Les meilleures heures pour publier sur twitter

01 Avr 2014, Posté par adminviedoc dans Digital

Vous avez un contenu propre (blog) ou une actualité à relayer (retravaillée en curation), et il faut la déployer sur les réseaux sociaux pour l’amplifier. Oui mais à quelle heure pour être sûr(e) de toucher son audience ?

Chaque réseau social est différent, et selon la nature de son auditoire, (BtoB, BtoC, tranche d’âge, sexe) on va essayer et expérimenter une diffusion à des jours bien précis. Difficile au début lorsqu’on est encore peu suivi (peu de données permettant de se faire un avis) cela devient plus facile avec le temps lorsque son volume d’audience augmente.

Twitter est l’un des réseaux sociaux les plus utilisés, la plupart des marques y sont présentes pour amplifier leurs campagnes et entraîner des conversions, augmenter le trafic sur son blog, ou simplement tester une idée…

Son format court impose un rythme différent des autres (fréquence de publication plus importante). Et cela ne choquera pas de voir une même actualité relayée plusieurs fois pour être sûr d’être aperçue au milieu d’un fil d’actualité chargé. Le corollaire est une réactivité « à fleur de peau », qui permet d’interagir presqu’en temps réel avec son audience mais qui à aussi donné des sueurs froides aux Community Managers chargés de l’E-Réputation de leur marque !

Un timing vital pour ne pas rater sa cible :
Eliminons donc les horaires fantaisistes, après 23h et avant 7h du matin… Les WE de façon parfois surprenante sont aussi sollicités. Pour le BtoB on se réfèrera aux « heures de grande écoute ». En semaine, de préférence entre 9h et 18-19h. En France évidemment avec les 35h on à tendance à raccourcir vers 17h. On pourrait éviter aussi de préférence la tranche horaire 13h-14h, bien que la période de « restauration » et de pause se prête aussi souvent au « surf » sur son mobile…
Ce qui laisse une amplitude considérable.

Alors que choisir ?

Les études de plages de diffusion optimales sur twitter :
Voilà déjà deux études statistiques générales montrant que les horaires varient grandement :

• Pour le spécialiste Hubspot Dan Zarella : Le matin (7-8h et vers 18h) en milieu de semaine et… les WE.
• Pour Bitly, basé sur leurs statistiques : 13-15h, lundi et jeudi.

Connaître les habitudes de professionnels aide considérablement (activités bien segmentées avec plages spécifiques dédiées à la recherche d’information par exemple). Partant de là on peut imaginer que le moment optimal serait un lundi matin sur la tranche 9h-9h30. En fait chaque audience à ses habitudes, et plutôt que de rester dans le flou, le mieux est d’utiliser des outils statistiques gratuits :

Pour mieux optimiser la diffusion de vos tweets :
Twitter bien sûr propose déjà des statistiques assez complètes et intéressantes : En allant sur son compte profils et paramètres, menu déroulant puis « statistiques » et en complément « publicités ».

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Autres outils gratuits :
• Tweriod (fournit les meilleurs jours, incluant les tweets des followers)
• Tweetwhen (Sur statistiques globales – Fourni avec Hubspot)
• Timely (Calcule les meilleures plages horaires, basé sur les 199 derniers tweets)
• Tweetreach (Pour mieux cerner ses followers et influenceurs)
• TwitterCounter (Suivi statistiques de l’audience, tweets et interactions)
• Tweetdeck (Appartient à Twitter- Permet un monitoring global)
• Audiense (SocialBro) Suit les tweets, followers, retweets…

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